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Ma vie pour toi.
9 mai 2007

Jour 8.

Tu te réveilles de bonne heures. Tu dois aller travailler. On à beau être un jour férié, tu as préférés quand même faire des heures, pour agrémenter ta paie d'un léger bonus en fin de mois. Tu veux pouvoir lui offrir des cadeaux. Tu veux pouvoir la gâter. Tu l'aimes. Tu veux lui montrer encore et encore. chaque jour encore plus. Tu n'es pas trop fatigués malgré les quatre heures de sommeil qui te servent de nuit. Tu te lèves, tu l'embrasses. Tu insistes un peu, tu aimerais bien un câlin avant de partir au travail. Elle râle. Tant pis. tu en auras sûrement un ce soir. Tu te lèves donc, tu la regardes encore un peu. Elle est endormis, Elle ne bronche pas. Tu l'envie, tu aurais bien aimé rester au lit à ses côtés. Demain tu pourras. Tu t'habilles en douceur, tu ne veux pas la perturber dans son sommeil. Tu jettes un dernier coup d'oeil, tu souffle un je t'aime. Elle ne t'entends pas, tu le savais mais c'est pas grave. Tu lui as dis c'est ça qui compte pour toi. Tu pars. Il fait froid dehors. Mais tout le long de la route, Elle est là pour te tenir compagnie. Tu as son visage paisible et endormis qui est resté imprimé dans ta tête. Alors tu pédales pour Elle, tu pédales avec le sourire.

 

Ta journée est tranquille. Peu de travail. Tant mieux. Tu parles avec Elle une bonne partie de la matinée. Tu aimes toujours autant c'est moments ou Elle et toi parler de tout et de rien. Tu repenses au pourquoi. Tu repense à votre rencontre. Vous avez commencer sur internet. Elle était intriguée par toi. Tu n'aurais jamais imaginé tomber amoureux à ce point. Tu n'aurais jamais imaginé que te marié à Elle moins de deux ans après. Tu n'aurais jamais imaginé vouloir un enfant avec Elle. Tu as sûrement parler plus avec Elle sur internet que tu ne parleras jamais avec quiconque d'autres. Les heures à taper sur le  clavier, à lire les petites lignes tu ne les comptes plus depuis bien longtemps déjà. Toujours est-il que tu profites bien de ta matinée. Et tu écris. ça te détends, alors tu écris ton article ici.
Tu décides de rentrer à midi pour lui faire plaisir. Pour manger à ses côtés. Elle t'attends dans le canapé. Elle est à moitié endormis. La veillé de la veille lui a laissée des traces. Elle te dit qu'Elle t'attendait, pour te voir avant d'aller faire sa sieste de l'après midi. Tu la regardes, Elle s'endort devant la télévision. Tu lui demandes d'aller se coucher. Elle se lève. Le téléphone sonne, Elle est presque dans la chambre. C'est pour Elle. Elle soupir, et revient prendre la communication. C'est pour son avenir. Une proposition alléchante, pourquoi pas. Elle à l'air enchanté, Elle rigole de bon coeur, tu aimes la voir comme ça, tu ne dis mots, tu ne veux pas la gêner dans son appel. Ta pause midi touche à sa fin. Elle raccroche, le temps de t'expliquer la trame principale, les détails attendrons ce soir, tu dois y aller.
Après midi rapide. Elle n'est pas sur internet. Elle dort. Tu en profites pour tenter de te sociabiliser un peu. C'est a coup d'email remplit de "tête de merde" "gay" et autres "tu fais claquer qu'un coup sinon tu vas m'niquer la batterie" que ton après midi ce poursuis. Tu pourrais te faire des amis ici, tu choisis plutôt de les ignorer le plus possible de ne pas t'en rapprocher. Tu as déjà des amis. Tu ne veux pas que ton travail rentre dans ta vie privé. Les collègues, resteront des collègues.

 

Enfin tu as finis. Tu rentres chez toi content que ta journée soit enfin finit. Elle ne t'entends pas rentrer, Elle dort encore. Tu en profites, et tu mets en place un ingénieux système, fabriquer en dix secondes, pour lui offrir une pluie de confettis au moments ou Elle rentrera dans le salon. Une bourde. Tu déclenche le piège sur toi même. Tu dois ramasser. Tu espères très fortement que tu auras le temps et qu'Elle ne t'as pas entendu. Tu recommences. Cette fois c'est bon. Tu te diriges dans la chambre. Tu rentres en douceur, t'approches a pas de loups. Elle dort. Elle est superbe. Naturelle, comme tu l'aimes le plus. Tu te demandes pendant une seconde pourquoi quelqu'un à inventé tout ses artifices ? Maquillages, crème, et autres bijoux pour mettre en valeur. Rien n'est plus jolie, selon toi, que ta femme complètement naturelle. Tu restes là à la regarder bêtement cinq bonnes minutes. Elle dort profondément, Elle ne sent pas du tout ta présence. Tu t'approches délicatement, et tu effleure sa joue de tes lèvres. Elle gémis légèrement. Tu murmures, Elle se réveille dans un soupir. Elle a l'air encore plus fatiguée que avant la sieste. Elle se lève, va aux toilettes, dans la salle de bain, reste dans le couloir à te regarder. Te suis dans la cuisine. Tu te demandes si un jour ou l'autre Elle ira dans le salon. Tu lui prépares son goûter, Elle en profite pour partir vers le salon, tu t'arrêtes et la suis discrètement pour constater ton échec. La pluie de confettis tombe derrière Elle. Mauvais calcul. Elle a l'air autant déçue que toi. Tant pis. La prochaine fois peut être. Tu ramasses. Elle veux les garder en souvenirs, dans une enveloppe avec la date. Tu trouves ça mignon. Goûter. Devant un spectacle, tu t'amuses beaucoup de voir le petit chauve et le grand maigre dire n'importe quoi. Elle reste a tes côtés aujourd'hui, Elle ne va pas devant l'ordinateur comme à son habitude. Tu apprécies qu'Elle fasse cela pour toi. Tu t'imagines bien qu'Elle doit plus ou moins se forcer, alors tu es vraiment content et tu profites entièrement, sans oublier la moindre miettes de sa présence. Ensuite, Elle te demande d'aller chercher du pain. Un jour férié à 18h, c'est sportif. Tu acceptes. Tu passes devant quatre boulangeries. Toutes plus fermées les unes que les autres. La cinquième sera la bonne. Il reste trois baguettes. Tu viens en chercher deux. Il te manque deux centimes d'euro. La cliente présente dans la boutique te feras une faveur, sûrement dû a ton sourire plein de charme. Tu aimes imaginer que les gens te trouves beau. Tu l'as tellement peu entendu dans ta vie. Ta mère, te l'as dis quelque fois. Ton ex... une fois. Ta femme. Non, pour Elle, tu es son moche rien qu'a Elle. Tu t'amuses beaucoup de ce concept. Tu repars donc avec tes deux baguettes. Et une fois rentré, une récompense particulièrement plaisante t'attendra. Elle t'attendait, Elle te propose de prendre un bain. Ensemble. Tu acceptes avec joie. Un moments intense. Tu ne vois pas le temps passer, des minutes, peut être des heures. Tu t'en fiches, rien ne presse. Elle est nue, en face de toi. Entourée de mousse, Elle est exquise. Tu la mangerai. Tu as -une fois de plus- envie d'Elle. Tu te hais. Tu aimerai ne pas y penser. Mais tu ne peux te battre contre ça. Elle est nue, ce serait un crime de ne pas la désirer. Tu es heureux de partager ce moment intimes avec Elle. Tu es bien, tu l'aimes. Tu profites de ce bain pour la caresser. Une chance pour toi, Elle ne trouve pas ça désagréable, enfin peut être. En tout cas Elle ne t'en empêche pas. Alors tu découvre son corps, une fois de plus. Tes mains la parcours, de genoux à cuisses, de cuisses à ventre, de ventre à seins, de seins à côtes, de côtes à dos. Tu parcours le moindre recoin de son corps, tu veux toucher toutes les parcelles de sa peau. Tu la trouves douce. Elle est douce. Tu l'aimes. Pendant un instant, tu t'en veux, tu as l'impression d'abuser d'Elle, d'outrepasser tes droits, de piétiner son intimité, son jardin secret. Alors tu t'arrêtes. Elle ne s'en aperçoit même pas. Ça ne devait pas être si grave. Elle commence à ne plus supporter l'eau, Elle se rince, sort du bain, tu l'admires. Chacun de ses gestes est pour toi une extase. Tu pourrais continuer à faire l'éloge de sa beauté nuit et jours, tu trouverai toujours quelque chose à dire. Enroulée dans sa serviette rose, l'autre serviette entortillé dans ses cheveux, Elle est charmante. Tu restes dans le bain encore un peu. Mais il est tard, tu dois aller lui préparer le dîner.

 

Elle choisit de dîner devant une de ces nombreuses série a rebondissement ou chaque épisode est une intrigue complexes pour élucider quelques affaires horrible de meurtre viols ou autre vilenies. Tu t'en accommodes, et tu lui serres des frites fraîches. La série ne sera qu'une excuse de bruit de fond. Elle te parle pendant presque tout le repas. Tu es bien content, car toi ce que tu aimes, c'est les discussions pendant le repas. Elle doit sûrement faire ça pour ton plaisir. Tu commences à te dire que ça fais beaucoup pour une simple coïncidence. Elle à dû se mettre en tête de te faire plaisir aujourd'hui. Tant mieux. Tu es heureux maintenant. Une fois le repas finit, Elle ne va pas s'arrêter en si bon chemin, Elle doit tenir à te rendre heureux ce soir. peut-être veut-Elle voir de la joie inondé tes yeux, peut-être veut-Elle, simplement te rendre heureux. En tout cas une chose est sure, quel-qu'en soit la raison, tu t'en fiche, tu profites. Tu es heureux. Tu l'aimes. Elle te propose donc une partie d'un de ces interminables jeu de plateau dont tu régal particulièrement. Ce n'est pas sa tasse de thé, mais pour toi Elle fait l'effort. Tu ne peux pas dire à quel point tu apprécie cela. Tu aimerai la remercier. Tu ne vois pas comment. Tu lui offrira un vêtement prochainement, ça devrait la comblée de bonheur. La partie s'éternise, Elle commence à ne plus supporter, tu le vois bien, mais Elle tiens quand même à continuer pour ton plaisir. Elle fera vraiment tout pour toi ce soir. Est-ce qu'Elle attends quelque choses en retour ? Tu n'en sauras rien. Finalement, -avec un peu de triche- tu perds lamentablement. Elle est ravie. Tu l'es également.

 

La fatigue montre le bout de son nez. Surtout pour Elle, bizarrement, ton réveil a l'aube et ta journée de travail n'ont presque pas d'effet sur toi. Mais tu ne peux pas refuser sa dernière proposition. Celle que tu attends chaque soir avec la même impatience, fatigué ou non. Tu es capable de tout abandonné pour la suivre. Elle te demande de venir se coucher avec Elle. Chose dite chose faite, tu accours à ses côtés. Le froids aura raison de son envie de bisous et caresse. Tu n'en voulais pas. Elle se tourne contre toi, pour couronner cette journée merveilleuse, se blottit au creux de ton épaule, presque parfait. Ça suffira tu n'as aucune envie de chipoter pour quelque centimètre, tu es tellement heureux qu'Elle soit sur toi. Tu l'aimes. Tu t'endors aussitôt.

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Commentaires
I
exactement... dans les 30 secondes.... :)<br /> <br /> et oui tu es mon moche! mais moi je t'ai dos maintes fois que je te trouvais beau! <br /> <br /> Je t'aime.<br /> Et non je ne voulais rien. Pour une fois que c'etait sponatane et partage!
Ma vie pour toi.
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