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Ma vie pour toi.
29 mai 2007

Quand faut y aller, faut y aller.

Le réveil sonne trop tôt. Tu aurais aimé continuer à dormir. Elle aussi. Surtout Elle. Elle retarde un peu l'heure du lever. Si bien qu'Elle n'as plus assez de temps pour se préparer. Tu prépares son petit déjeuner. Elle n'en veut pas. Elle n'a pas le temps. Tu fais la vaisselle. Tu ranges la cuisine. Tu es prêt largement à l'heure. Elle non. Elle est prête en retard. Vous deviez aller travailler à pieds ensemble. Finalement Elle prendra le bus. En plus il pleut. Elle fait un bout de la route puis hésite. En bus ou à pieds. Tu lui explique qu'Elle à le temps à pieds. Elle choisit le bus. Principalement à cause de la pluie. Tu l'accompagne sur un petit bout du chemin. Puis tu pars. Elle t'embrasse quand même malgrès son enervement. Tu pars sous la pluie. Tu pédales. Tu es en retard. Tu n'aurais pas dù l'accompagner si loin. Tu pédales vite. Très vite. Une fois sur place tu reçois un sms. Son bus est en retard. Elle s'impatiente. Elle n'a plus de cigarettes. Elle stress beaucoup. Le temps avance. Toujours pas de bus. Tu consultes le site internet de la compagnie. Grève. Tu lui la préviens. Elle est enervée. Un bus arrive finalement. Pendant ce temps tu commences ton travail. Tu es éssouflés. Tu es mouillé. Tu as froid. C'est très désagréable. Tu la vois passer par la fenêtre avec ses camarades retardés eux aussi par la faute du bus. Ta matinée est longue. La sienne pire. Elle te rejoint pendant sa pause. Tu prends ta pause au même moments. Tu lui expliques comment pirater son poste pour avoir accés à internet. Elle qui ne voulait pas. Elle change d'avis. Sa formation est trop longue. Trop ininterressante. Tu te rappelles tes heures de formation à toi. Elle repart. Tu t'y remets. La fin de matinée est un peu moins lassante. Elle se connecte. Elle parle peu. Elle doit être discrète.

 

Midi. Tu prends ta pause légèrement avant Elle. Juste le temps de manger avant qu'Elle n'arrive. Tu finis rapidement et tu la rejoins. Elle est à bout. Sa matinée lui à été inssuportable. Tu veux lui parler et lui changer les idées. Il n'y a rien à faire. Tu passes ta pause de midi à lui parler. Elle te raconte comment sa matinée c'est passé. Tu detestes la voir comme cela. Elle à une tête atroces. Sa beauté est masquée dérrière son stress. Ses yeux ne brillent plus. Son sourire est absent. Elle est à bout. En seulement trois jours, tu comprends qu'Elle ne tiendra jamais pendant trois mois. Tu t'en veux de lui avoir proposés ce travail. Tu t'en veux d'avoir pensés que ça lui plairait de travailler pour se payer du shopping. La pause est finit. Elle est au bords des larmes. Elle ne veut pas y retourner. Elle t'accompagnes à ton poste. Elle te regarde travailler. Elle aime voir ton univers et ton travail. Elle aime te voir en action. Pourtant ça ne diminuera pas son stress. Elle s'en va. L'après midi est long. En plus tu ne peux pas prendre ta pause en même temps qu'Elle. Elle vient pourtant te voir sur place. Elle reste un peu puis s'en retourne. Fin de journée. Tu devais finir trente minutes avant Elle et rentré aussitôt. Elle préfèrere rentrer en bus plutôt qu'à pieds comme prévu. Elle est préssée de rentrer. Finalement tu termines quelques minutes avant Elle. Tu décides de l'attendre pour l'accompagner à l'arrêt de bus. Elle est surprise de te voir. Elle est pourtant contente. Elle a réussit à se détendre dans son après midi. Tant mieux son sourire est revenue. La fin de journée amène une bonne humeur fortement agréable. Elle te raconte son après midi avec joie. Tu l'écoutes avec plus encore. Il fait très froids dehors. Le vent est glacial. Elle n'a pas grand chose sur le dos. Tu as froid pour Elle. Vous arrivez quelques minutes avant le bus. Tu lui parles en attendant. Pas de bus. Le vent est toujours aussi froid. Toujours pas de bus. Le stress remonte. Sa bonne humeur cede la place à de l'agacement. Tu appel la compagnie. Grève encore. Elle craque. Elle s'enerve. Elle part à pieds. Tu la suis. Elle est aggressive. Incisive même. Tu ne peux pas lui en vouloir. Tu sais que ce n'est pas sa faute. Alors tu restes près d'Elle. Tu encaisses sans broncher. Tu restes à ses côtés. Elle te demande de partir. Elle souligne ton inutilité. Tu restes pourtant. Le retour est vraiment un mauvais moment.

 

Tu arrives chez toi. Tu lui ouvres la porte. Qu'Elle n'est pas à chercher ses clefs pendant de longues minutes qui l'enerverait encore. Ses nerfs se sont un peu apaisés. Elle va un peu mieux. Tu lui proposes de sortir avec toi faire quelques courses pour lui changer les idées. Elle accepte. Ce n'est pas la grande joie mais c'est toujours plus agréable que le chemin du retour. La soirée est pathétique. Après manger Elle va chatter un peu. Tu joues à ta console. Elle stresse tellement qu'Elle fatigue très vite. Tu l'accompagnes se coucher. Tu t'allonges près d'Elle. Tu lui parles un peu. Quelques confessions. Tu lui avoues enfin ta jalousie. Elle n'en pense rien. Tu aurais aimé une réaction. N'importe laquelle mais pas du rien du tout. Tant pis. Elle s'endort sur tes mots. Tu continues de parler un moments encore avant de t'en apercevoir. Tu l'embrasses. Tu l'aimes. Tu te mets en quête du sommeil toi aussi.

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