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Ma vie pour toi.
2 juin 2007

30 ème.

Tu avais mis ton réveil plus tôt. Tu te réveilles donc suffisement longtemps avant de partir pour pouvoir la réveiller en douceur. Ce matin encore tu as envie d'Elle. Tu commences à la carresser lentement. Tu la réveilles. Elle n'aime pas du tout ça. Elle déteste le matin. C'est la dernière fois que tu t'entêtes un matin. Courir dans un mur c'est douloureux. Pourtant tu l'aimes. Tu ne peux pas lui en vouloir. Tu es juste dégouté. Elle n'arrive plus à dormir. De ta faute. Tu te lèves. Tu fais la vaisselle. Tu ranges. Tu prépares ton sac. Tout en silence. Tu lui prépares une surprise. Une épilation que tu prévoyais un peu plus tard. Elle la voulait maintenant. Pour être belle pour Paris ? Peut être. Tu l'aimes. Tu prends sur toi pour lui offrir ça. Ca lui plait à Elle. Tant mieux. Elle fait déjà beaucoup d'autres choses pour toi. Tu te contenteras de l'imaginer et d'être heureux pour Elle. Tu rentres dans la chambre. Tu l'embrasses une dernière fois. Tu pars au travail. La route est longue. Tu n'es pas en retard. La matinée est bizarement rapide. Elle se connect tôt. Elle n'arrive plus dormir. Tu lui parles toutes la matinée. Elle est de bonne humeur. Déjà ta surprise lui fait énormément plaisir. Elle a prit rendez vous pour 14h. En plus, Elle reçoit un colis d'un ami en séjour au Japon. Elle aime le japon. Elle aime tout ces petites choses du Japon. Elle est contente de son colis. La matinée passe rapidement. Elle va prendre un bain. Elle veut être belle avant la boucherie. Elle sort du bain. Il n'y a rien à manger. La télévision ne fonctionne plus. En un claquement de doigts sa bonne humeur disparait. Comme si elle n'avait jamais été là. Elle est énervée. Tu décides de rentrer pour aller faire des courses pour Elle dans ton heure de midi.

Tu pédales. Encore. Tu as faim. Mais tu n'as pas le temps de manger. Tu penses à Elle qui à faim. Tu t'inquiètes plus de sa faim à Elle que de la tienne. Tu penses toujours à Elle plus qu'à toi. Toujours. Un jour peut être ça te joueras un tour. Tu arrives chez toi. Epuisé. Tu rentres. Personne. Elle est partie faire des courses. Tu ressors. Tu la rejoint au supermarché. Elle vient de se faire mal à la jambe. Elle a du mal à marcher. Tu portes les courses. Tu déposes tout à l'appartement. Tu appelles le centre de soin. Tu décales son rendez vous pour 17h ce soir. Vous deviez passer la dernière soirée ensemble avant qu'Elle prenne le train. Peut être jouer une scène. Tant pis. Elle n'aura pas le temps. Il est l'heure de repartir. Tu as toujours aussi faim. Un peu plus même. Tu n'as servis à rien. Ah si. A porter. Tu repars. Encore sur ton vélo. Tu pédales. Encore. Tu as l'impression de passer ta vie sur ton vélo.

Tu reprends. L'après midi est un peu moins monotone. Elle t'apprends au bout de quelques heures qu'Elle a préparée une surprise pour toi. Tu es impatient. Elle part tôt. Elle ne veut pas être en retard pour son rendez vous. Il faut qu'Elle soit belle. Belle pour Paris. Tu finis. Tu rentres en vélo. Tu hésites. Jusqu'au dernier moments tu hésites. Tu ne sais pas si tu la rejoint directement ou si tu rentres à l'appartement te changer et si tu peux lui préparée une surprise. Finalement tu rentres. Tu arrives chez toi en trombe. Tu te changes rapidement. Toujours pas le temps de manger. Tu enfiles ton costume. Tu veux lui plaire. Encore. Et tu sais que avec ce costume tu lui plaira à coup sur. C'est la seule tenue ou tu sens que tu lui plais réélement. C'est la seule tenue ou tu sens qu'Elle te regarde avec passion. Tu aimes la porté pour ça. Tu aimes qu'Elle te regarde ainsi. Avec des yeux étincelant de bonheur. Tu aimerai ne jamais perdre ce regard. Mais si tu portes trop souvent ton costumes c'est ce qu'il se passera. Tant pis. Tu le mets quand même. Tu veux voir ces yeux là aujourd'hui. Tu en as besoin. Tu repars en tram. Tu arrives quelques miutes en avance. Tu l'attends. Tu te mets légèrement en retrait de manière à ce qu'Elle ne te voit pas. Tu veux la surprendre. Perdu. Un mirroir que tu n'avais pas vu. Tu es en plein dedant. Elle te voit et te regarde depuis au moins cinq minutes. Raté. Elle a quand même un grand sourire quand Elle sort pour t'embrasser. Elle te raconte avec joie ce qu'on vient de lui faire. Elle te fait une merveilleuse surprise. Elle a changée son billet de train. Elle passe le week end avec toi. Elle part dimanche matin quand toi tu vas travailler. Tu es heureux. Elle a décalée son week end pour toi. Tu ne sait pas comment la remercier. Dans l'élan Elle offre le gouter. La sncf lui a remboursée un bout de ses billets. Tu la vois ravie de sa surprise. Elle est superbe. Elle veut te montrer une chose dans un magasin pas loin. Tu sens le piège. Mais tu acceptes. Elle te montre. Tu n'affiches pas un air convaincu. Elle se propose pour faire une scéance d'essayage. Tu acceptes. La voir déambuler dans de nouveaux vetement le sourire au lèvres est toujours un plaisir. Même si ton estomac crie famine. Et que les pains au chocolat dans ta main ne demandent qu'a être mangé. Tu la regardes ésayer les short, les robes, les jupes, les haut. Elle est sublime. Tout lui va a ravir. Des étoiles brillent autour d'Elle pour mettre sa beauté en valeur. Elle aimerait dépenser sa paie durement gagner dans du shopping. Pas dans le decouvert. Tu trouves ça parfaitement normal. Elle n'a pas à payer les factures. Tu sers à ça. Elle devrait profiter avec ses sous. Tu te débrouilleras. Tu acceptes. Sans caché sa joie. Elle parcours le magasin. A la limite de la frenesie. Elle choisit tous les vetement sur lesquels Elle a flashé. Elle est heureuse. Elle se sent fille. Elle se sent femme. Tu es heureux de pouvoir lui offrir ça. Pendant quelques heures Elle ne pense à rien sauf à Elle. Tu lui fait plaisir. Encore et encore. Elle le prends sans compter. Tu lui donnes sans compter. Tu l'aimes. Elle se fait plaisir. Enormément plaisir. Tant mieux. Elle ne pense pas à toi. Toi non plus. Tu auras bien le temps plus tard. Pour le moments tu te contente d'admirer son sourire. Il est tard. Tu commences à avoir mal au jambes et plus encore au dos. Tu ne dis mot. Tu ne veux pas lui gacher son plaisir. Tu te concentre sur la douleur et tu l'oublie. Comme beaucoup d'autre chose. Elle est satisfaite. Elle décide de rentrer. En parfait gentleman tu portes tous les sacs. On vous croirez sortis d'un film. L'homme en costume qui porte les sacs. La femme bien habillé qui court à droite à gauche pour dépenser toujours plus. Le compte ne suivra plus si tu continues. Tu rentres avec Elle. Vous voila dans le tram. Tu la regardes. Elle est belle.

Tu lui ouvres la porte. Comme toujours. Elle entre et file dans la chambre. Tu t'asseois dans le canapé. Tu attends la scéance d'essayage personalisé. Juste pour toi. Dans le salon. Tu es assis et tu te surprends à imaginer une scène. Tu es assis comme maintenant. Elle rentre dans le salon en sous vetements. Elle s'assoie face à toi sur tes genoux. Elle déboutonne ta chemise d'une main et commence à te carresser le torse de l'autre. Tu te laisses faire. Elle prends les choses en main pour une fois. Tu aimes. Elle t'embrasse dans le cou. Elle passe délicatement sa main sur ton visage. Tu l'embrasses au passages mais Elle la retire aussitôt. Elle t'embrasse maintenant sur le torse tout en continuant de te caresser et de se trémousser sur tes genoux dans sa tenue affriolante. Tu aimes... Elle t'appelle. Dommage. Ce n'était qu'une illusion. Tu la rejoints dans la chambre. Elle est parfaite. Sa tenue lui va à merveille. Elle est à croquer. Elle se regarde dans la glace. Elle s'admire. Oui. En ce moments même aucune femme au monde ne pourrait rivaliser avec sa beautée. Tu l'aimes. Elle est contente de ses achat. Tu es bien. La voir comme ça te fais du bien. Tu en avais besoin. Tu te changes. Tu prépares à manger. La soirée est agréable. Elle ne peux pas se laver ce soir. Ca ferait des irritations. Tant pis tu aurais aimé un bain avec Elle. Pas ce soir. Demain Elle est là de toute façon. Elle fatigue. Tu lui proposes de passer au lit. Tu ne ressens plus si tu es fatigués ou pas. La fatigue est un état permanent. Tu n'as pas dormis suffisement depuis si longtemps que tu ne saurais le dire. Tu voudrais te reposer vraiment. Dormir beaucoup. Te ressourcer. Tu ne peux pas. Pas en ce moments. Elle se couche. Elle est si jolie. Elle garde pour ton plaisir ses sous vetement. Pour que tu t'amuses avec. Elle sait que tu aimes bien ça. Tu aimes la caresser pendant qu'Elle est habillée. Puis la déshabiller petit à petit. Et la  caresser encore. Dommage qu'Elle n'en raffolle pas. Tu as gravé en toi le souvenir d'une fois. Collée contre toi d'abord face à toi. Puis Elle te tournait le dos. Tous les deux nu tu la caresser à pleines main. Elle se tordait de désir. Toi aussi. Cette nuit là était magique. quelque temps avant la scène 1 il te semble. Elle s'allonge sur le ventre. Tu la caresse tendrement. Elle commence à se contracter. Elle te le signale. Tu lui demandes si ça vaut le coup de continuer. Elle ne réponds rien et se rhabille. Elle te troune le dos. Tu voudrais mourrir. Ton corps se consume de désirs depuis plusieurs jours. Tu la désirs encore et toujours. Eternel insatisfait ? Peut être. Ou pas. Simplement un mari qui désir sa femme. Un mari qui aime sa femme. Un mari qui aimerai avoir une vie sexuelle plus intense peut être. Tant pis. Pas ce soir. Ca t'empèches de dormir. Tu attendais ce moments avec impatience. Surtout après l'après midi passé. Tu esperais enfin penser un peu à toi. Ou que Elle y pense. Tant pis. Tu te relève. Elle se relève également. Elle vient fumer une cigarette. Elle reste loin de toi. Elle te parle à peine. Elle retourne se coucher. Sans un regard. sans un mots. Sans un baiser. Tu ne lui en veux pas. Tu t'en veux à toi de te mettre dans ces états. Tu en veux à ton corps de réclamer autant. Tu dois attendre encore trente minutes avant d'aller dormir. Tu vas boire. Tu retournes dans le couloir. Tu t'asseois. Tu penses. Finalement tu arrives à prendre sur toi. Tu vas te coucher. Dégouté. Mais tu arrives à trouver le sommeil malgrès tout. Tu t'en veux de lui faire subir ça. Tu t'en veux. Tu l'aimes. Tu dors

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Ma vie pour toi.
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